Je te demande pardon de ne pas avoir perçu ta détresse. Tu me l’as bien cachée, ne voulant ni que je m’inquiète ni que je te retienne. La vie ne prend toute sa valeur que parce qu’elle a une fin. La mortalité doit nous pousser à vivre heureux, à rire, à savourer, à relativiser. Dans l’océan de la tienne, tu t’es noyée. Mais tu es sereine petite étoile et de là-haut tu veilles sur moi. Nous veillerons sur Colin. Point lumineux et étincelant dans l’espace infini des cieux. Tu viendras me voir dans mes songes, tu écouteras mes rires, tu admireras les esquisses de ma liberté, tu te réjouiras de mon bonheur. Tu vivras à travers moi.
Ciao copine !
Bon jour,
Tout est là dans la mémoire, et l’écrit comme des signes de vie …
Max-Louis
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Oui, et l’amour dure toujours. Merci Max-Louis
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Je le vis depuis un peu plus de sept ans
La mémoire est le plus bel hommage que tu puisses lui rendre
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Merci Fran.
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