A Charles
Ô Charles, dans mes errances, nocturnes ou diurnes, je pense parfois à toi.
Toi, compagnon de turpitudes avec qui j’explore l’inconscience tranquille.
Charles, j’aime la poésie de ta désuétude, tes idées, ta liberté.
Toi, vieux cochon andropausé, aux envies lubriques jamais rassasiées.
Toi le roi des situations cocasses.
D’un plat de lentilles partagé dans un antre secret à Paris, je garde une saveur baroque.
Souvenir d’une rencontre improbable, cadeau inattendue de la vie.
En ce jour d’anniversaire,
C’est du bout de la langue mais du fond du cœur
Que je te souhaite de vivre de belles années de bonheur !
Contrainte du 25/03/2018 : Cochon, inconscience, langue, voyage, désuet, baroque, Paris, lentille, source
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